Le décès de Zoumana Bakayoko en rajoute aux spéculations
Le Woroba, la commune de Séguéla et la Côte d’Ivoire, sont en proie à une onde de choc après la disparition soudaine de Zoumana Bakayoko, député, survenue le dimanche 1er juin 2025. Ce décès, dont les origines demeurent pour l'instant méconnues, semble entouré de mystère, alimentant désormais les spéculations
Une famille frappée par la tragédie en chaîne
L’histoire des Bakayoko est marquée par une succession de pertes tragiques. En seulement quatre ans, la famille Bakayoko a perdu trois de ses membres : Hamed Bakayoko, ancien Premier ministre et figure emblématique de la scène politique en 2021 ; Fatima, en 2022 ; et enfin Zoumana, en 2025. La rapidité de ces drames familiaux soulève des questions sur leurs causes, naturelles ou autres, qui restent encore à élucider.
Une région en crise politique et sécuritaire
Au-delà de la sphère familiale, cette série de pertes dans la région de Séguéla interpelle aussi sur la stabilité politique locale. La circonscription a perdu en seulement quatre ans trois députés : Hamed Bakayoko, puis Amadou Soumahoro en 2022, et enfin Zoumana Bakayoko. La succession rapide de ces décès dans une même région, alimente également les spéculations sur ces drames.
Un mystère qui alimente les rumeurs
Pour l’heure, les circonstances exactes de la disparition de Zoumana Bakayoko restent floues. La presse locale et internationale s’interroge : s’agit-il d’une cause naturelle ou d’un événement lié à des enjeux politiques ? La question demeure ouverte, et cette incertitude nourrit les rumeurs, Ce drame intervient à un moment où la population de Séguéla, déjà éprouvée par ces pertes successives, n'a pas encore eu de réponses claires sur le décès d'Hamed Bakayoko. Les rumeurs continuent de circuler sur les causes de sa disparition. Ce qui pourrait en rajouter après le décès de Zoumana Bakayoko.
Une chose est sure, la presse suivra de près l’évolution de cette affaire. Entre drame familial et enjeux politiques. Cette affaire illustre la complexité d’un contexte marqué par la succession de pertes tragiques. La communauté nationale attend désormais des réponses claires.
Modeste KONÉ